http://www.deonto-ethics.org/quantic/index.php?action=history&feed=atom&title=Fr%C3%A9quence_intrins%C3%A8que_inobservable%2C_donc_impensable_%3F Fréquence intrinsèque inobservable, donc impensable ? - Historique des versions 2024-11-22T13:44:07Z Historique pour cette page sur le wiki MediaWiki 1.25.2 http://www.deonto-ethics.org/quantic/index.php?title=Fr%C3%A9quence_intrins%C3%A8que_inobservable,_donc_impensable_%3F&diff=125&oldid=prev Jacques Lavau le 19 juin 2018 à 22:04 2018-06-19T22:04:45Z <p></p> <table class='diff diff-contentalign-left'> <col class='diff-marker' /> <col class='diff-content' /> <col class='diff-marker' /> <col class='diff-content' /> <tr style='vertical-align: top;'> <td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">← Version précédente</td> <td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">Version du 19 juin 2018 à 22:04</td> </tr><tr><td colspan="2" class="diff-lineno" id="L17" >Ligne 17 :</td> <td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 17 :</td></tr> <tr><td class='diff-marker'>&#160;</td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'>&#160;</td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr> <tr><td class='diff-marker'>&#160;</td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>Le lien avec le spin ? Je ne suis jamais allé plus loin que dans l&#039;article où je compare les directions propres de la transformation de Lorentz (&#039;&#039;boost&#039;&#039;) et celles de la rotation. Les premières sont réelles mais sur le cône de lumière, les secondes sont toujours complexes.</div></td><td class='diff-marker'>&#160;</td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>Le lien avec le spin ? Je ne suis jamais allé plus loin que dans l&#039;article où je compare les directions propres de la transformation de Lorentz (&#039;&#039;boost&#039;&#039;) et celles de la rotation. Les premières sont réelles mais sur le cône de lumière, les secondes sont toujours complexes.</div></td></tr> <tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>http://jacques.lavau.<del class="diffchange diffchange-inline">perso</del>.<del class="diffchange diffchange-inline">sfr.fr</del>/DIAGLorenz.htm&lt;br&gt;</div></td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>http://jacques.lavau.<ins class="diffchange diffchange-inline">deonto-ethique</ins>.<ins class="diffchange diffchange-inline">eu</ins>/DIAGLorenz.htm&lt;br&gt;</div></td></tr> <tr><td class='diff-marker'>&#160;</td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>Je demeure persuadé que ce fait nous donne une des conditions aux limites de la solution. Solution que je n&#039;ai pas.</div></td><td class='diff-marker'>&#160;</td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>Je demeure persuadé que ce fait nous donne une des conditions aux limites de la solution. Solution que je n&#039;ai pas.</div></td></tr> <tr><td class='diff-marker'>&#160;</td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'>&#160;</td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr> </table> Jacques Lavau http://www.deonto-ethics.org/quantic/index.php?title=Fr%C3%A9quence_intrins%C3%A8que_inobservable,_donc_impensable_%3F&diff=7&oldid=prev Jacques Lavau : Page créée avec « Max Planck ne parlait pas de "Quantum d'énergie", mais bien de "Quantum d'action". Si l'on parle de "quantum d'énergie", cela implique que la lumière se propage depuis... » 2014-11-24T17:47:17Z <p>Page créée avec « Max Planck ne parlait pas de &quot;Quantum d&#039;énergie&quot;, mais bien de &quot;Quantum d&#039;action&quot;. Si l&#039;on parle de &quot;quantum d&#039;énergie&quot;, cela implique que la lumière se propage depuis... »</p> <p><b>Nouvelle page</b></p><div>Max Planck ne parlait pas de &quot;Quantum d&#039;énergie&quot;, mais bien de &quot;Quantum d&#039;action&quot;.<br /> Si l&#039;on parle de &quot;quantum d&#039;énergie&quot;, cela implique que la lumière se propage depuis les fins fonds de l&#039;univers sous forme de particules.&lt;br&gt;<br /> Par contre si l&#039;on parle de &quot;quantum d&#039;action&quot; cela implique que la lumière peut parfaitement et uniquement se propager sous forme d&#039;ondes, mais que son activité sur la matière ne se manifeste que par paquets. &lt;br&gt;<br /> Ces lignes précédentes ne sont pas de moi, mais extraites de Bernard Lempel, sur le forum fr.sci.astrophysique.<br /> <br /> Exact : quantum d&#039;action, et rien d&#039;autre.&lt;br&gt;<br /> Sauf qu&#039;il nous reste dans les gencives à résoudre le débat entre présence ou absence de l&#039;unité de cycle dedans.&lt;br&gt;<br /> L&#039;action hamiltonienne est clairement en joule.seconde.&lt;br&gt;<br /> Mais le quantum de Planck est clairement en joule.seconde/cycle, ou en joule.seconde/radian, de nature cyclique.<br /> <br /> On en avait déjà débattu sur fr.sci.physique, sans aboutir à grand-chose. Pourtant c&#039;est bien un point fondamental, que cette articulation entre le cyclique et le non-cyclique.<br /> <br /> Notre espace-temps à nous, macroscopique, n&#039;a pas de caractère cyclique évident, ni sans doute de caractère cyclique du tout. Mais chaque quanton est cyclique et ondulatoire, les expériences nous en confirment les preuves chaque jour. L&#039;équation de Dirac de 1928 en apportait une confirmation théorique de principe, confirmant la fréquence broglienne, avec en plus un déroutant facteur 2, qui est confirmé par les expériences d&#039;interférences de neutron, de Rauch et Bonse, et qui semble lié au spin 1/2 des électrons et des neutrons.<br /> <br /> Au départ, le caractère périodique a été soufflé à Broglie (thèse, 1924) par la relation &lt;math&gt;E = h.\nu&lt;/math&gt; de Planck et Einstein. Sauf qu&#039;il l&#039;a bien peu exploité ensuite, excepté lors de sa rébellion finale, à la fin de sa vie.&lt;br&gt;<br /> Il a été redémontré par Schrödinger en 1930, quand celui-ci a donné une résolution particulière de l&#039;équation de Dirac, connue depuis sous le nom de &#039;&#039;Zitterbewegung&#039;&#039;.<br /> <br /> Le lien avec le spin ? Je ne suis jamais allé plus loin que dans l&#039;article où je compare les directions propres de la transformation de Lorentz (&#039;&#039;boost&#039;&#039;) et celles de la rotation. Les premières sont réelles mais sur le cône de lumière, les secondes sont toujours complexes.<br /> http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/DIAGLorenz.htm&lt;br&gt;<br /> Je demeure persuadé que ce fait nous donne une des conditions aux limites de la solution. Solution que je n&#039;ai pas.<br /> <br /> J&#039;ai juste élaboré la notion d&#039;ombre, reprenant ce mot de l&#039;Analyse Non-standard de Robinson : nous n&#039;appréhendons que les ombres sur notre monde macroscopique, des individus essentiels qui échappent largement à notre expérimentation. Le spin est de ceux-là. Evidemment si le mot est bien ici le même morphème, le concept n&#039;est pas le même.<br /> <br /> <br /> <br /> == L&#039;art d&#039;escamoter le caractère cyclique de tout quanton ==<br /> <br /> &#039;&#039;&#039;Corrections de novembre 2009 :&#039;&#039;&#039;&lt;br&gt;<br /> L&#039;escamotage se fit en deux temps :<br /> En premier lieu, la malchance fit qu&#039;Erwin Schrödinger élimina provisoirement les fondements relativistes de l&#039;onde broglienne et de sa fréquence intrinsèque mc²/h. Du coup, il resta flou sur sa théorie de l&#039;émission atomique par battement entre deux fréquences électroniques, fréquences dont il ne disait plus qu&#039;elles étaient brogliennes, et dont les valeurs restèrent tacites et inconnues.&lt;br&gt;<br /> En second lieu, Schrödinger fut éliminé à son tour, et toute notion de périodicité et de pulsation fut effacée par les vainqueurs.&lt;br&gt;<br /> <br /> <br /> Je venais de relire (avril 2006), puis j&#039;ai relu différemment le &#039;&#039;&#039;Chpolski, Physique atomique Tome 1&#039;&#039;&#039; (Mir).&lt;br&gt;<br /> Il appert que les paragraphes 140 et 141 d&#039;une part, 152 d&#039;autre part, sont contradictoires entre eux.<br /> <br /> Dans les deux premiers, consacrés à l&#039;hypothèse de Louis de Broglie, la fréquence intrinsèque a bien la valeur proposée par Broglie depuis la relation de Planck E = h.&lt;math&gt;\nu&lt;/math&gt;.<br /> <br /> Il restera la formule de de dispersion :&lt;br&gt;<br /> &lt;math&gt;\frac{\omega^2} {c^2} = \frac{\omega_0^2} {c^2} + k_x^2 + k_y^2 + k_z^2 &lt;/math&gt;<br /> <br /> Mais au paragraphe 152, consacré à l&#039;équation non relativiste de Schrödinger, on consacre le lien non relativiste entre énergie et impulsion :&lt;br&gt;<br /> &lt;math&gt;E = \frac{p^2}{2m} = \frac{p_x^2 + p_y^2 + p_z^2 }{2m}&lt;/math&gt;<br /> <br /> On va assister à l&#039;élimination du terme temporel &lt;math&gt;\omega&lt;/math&gt; , redéfini par&lt;br&gt;<br /> &lt;tex&gt;\omega = \frac{\hbar}{2m} (k_x^2 + k_y^2 + k_z^2)&lt;/tex&gt; &lt;br&gt;<br /> pulsation fictive et inexpérimentale, qui n&#039;a d&#039;apparence de validité qu&#039;en approximation non relativiste.&lt;br&gt;<br /> D&#039;où :<br /> &lt;tex&gt;i.\hbar \frac{d\psi}{dt} = -\frac{\hbar^2}{2m} \Delta\psi&lt;/tex&gt;&lt;br&gt;<br /> <br /> Bon, la périodicité dans le temps n&#039;est pas encore totalement éliminée, puisqu&#039;on recherche ensuite les solutions monochromatiques stationnaires, avec une séparation en produit de fonctions :&lt;br&gt;<br /> &lt;math&gt;\Psi = e^{-{\frac{i.E.t}{\hbar}}}. \Psi_0(x, y, z)&lt;/math&gt;<br /> <br /> &lt;tex&gt;\psi(x, y, z, t) = \psi_0(x, y, z). e^{-{\frac{i.E.t}{\hbar}}}&lt;/tex&gt;<br /> <br /> Mais très vite après élimination de Schrödinger lui-même au congrès Solvay de 1927, l&#039;idée même de périodicité aussi va être jetée au Trou de Mémoire.&lt;br&gt;<br /> L&#039;entourloupe enseignée partout, est de jeter l&#039;indice zéro, et de ne plus étudier que Psi_0, en l&#039;appelant Psi tout court. Enseigner que l&#039;onde et l&#039;amplitude temporelle de l&#039;onde périodique, ce serait kif-kif.<br /> <br /> Rendons grâce à l&#039;exceptionnelle honnêteté intellectuelle de E. V. Chpolski.<br /> <br /> Prenons un autre manuel, bien plus récent, celui de &#039;&#039;&#039;Greiner&#039;&#039;&#039;, chez Springer Verlag, dans l&#039;édition en langue anglaise &#039;&#039;Quantum Mechanics, an Introduction&#039;&#039;. La pulsation fictive et indéterminée de l&#039;onde broglienne-révisée-Schrödinger-non-relativiste ne franchit pas les pages 23 à 26. Dès la page 30, on oblitère toute image d&#039;onde par la &quot;&#039;&#039;Statistical interpretation&#039;&#039;&quot;. Tandis que l&#039;équation de Schrödinger n&#039;arrive qu&#039;en page 86.<br /> <br /> Les détails et diagrammes sur la densité électronique en fonction de la distance au proton dans l&#039;atome d&#039;hydrogène neutre et isolé, n&#039;arrivent qu&#039;en page 156 à 159. Bien entendu, ils sont totalement incompatibles avec l&#039;interprétation statistique d&#039;apparitions de corpuscules farfadiques. Comment fait donc le corpuscule farfadique pour franchir les zones où sa densité est identiquement nulle ?<br /> Pouvez-vous passer la moitié de votre temps dans le lit de votre concubine Zeinab et l&#039;autre moitié dans le lit de votre concubine Zobéïde sans passer une fraction de votre temps dans le couloir qui sépare leurs deux chambres ? Ah oui, c&#039;est vrai, vous êtes un prophète doté de pouvoirs surnaturels...<br /> <br /> Mais c&#039;est trop tard : l&#039;étudiant a tellement investi dans l&#039;assimilation de la Sainte Dualité, qu&#039;il ne peut plus revenir en arrière. Et puis, c&#039;est le prof qui lui a enseigné la Sainte Dualité, qui lui donne la note à l&#039;examen, alors...<br /> <br /> Et voilà comment l&#039;enseignement escamote la périodicité de tout quanton, même avec masse. Ce sont de lourdes fautes professionnelles accumulées.<br /> <br /> J&#039;aurais pu prendre des manuels en langue française, avec le même niveau de consternation finale. Même niveau de théologie, même mépris des règles de base de l&#039;heuristique et de la méthode scientifique.<br /> <br /> Et pourtant, dans le détail de l&#039;édition, le &#039;&#039;&#039;Greiner&#039;&#039;&#039; est exemplaire de qualité, à l&#039;allemande. Oui, mais en grand, dans l&#039;architecture didactique générale, le défaut est monumental.<br /> <br /> <br /> Si l&#039;on regarde le &#039;&#039;&#039;Diu, Cohen-Tannoudji et Laloë&#039;&#039;&#039;, c&#039;est largement pis :<br /> La pulsation totalement indéfinie selon Broglie-révisé-Schrödinger-non-relativiste apparaît et disparaît définitivement à la page 18.<br /> Page 19, sous le titre d&#039;équation de Schrödinger, avant même que cette équation apparaisse, elle est précédée par le dogme de l&#039;interprétation statistique, qui restera au pouvoir tout au long des 1509 pages des deux volumes.&lt;br&gt;<br /> Il semble difficile de faire plus radical dans l&#039;escroquerie intellectuelle et la guerre de religion.&lt;br&gt;<br /> Que nous réservent les autres auteurs de langue française ?<br /> <br /> Vérification faite, les autres auteurs de langue française sont nettement plus ambigus, et de fait plus honnêtes dans leurs exposés.<br /> <br /> Le cas de Dirac mériterait un article à lui seul. Dans le paragraphe 67 de son &#039;&#039;&#039;Principles of Quantum Mechanics&#039;&#039;&#039;, Dirac titre bien : &quot;&#039;&#039;The &#039;&#039;&#039;wave&#039;&#039;&#039; equation of the electron&#039;&#039;&quot;. Et à aucun moment, il ne fait aucune hypothèse corpusculaire. Le problème est qu&#039;il se concentre tellement sur les seuls aspects mathématiques, qu&#039;il omet systématiquement de s&#039;abaisser à expliciter une sémantique. Typique est sa phrase cryptique : &quot;&#039;&#039;La mécanique quantique n&#039;est finalement autre que la mécanique classique, mais écrite dans une algèbre non commutative.&#039;&#039;&quot;<br /> <br /> == Le Zitterbewegung, ou &quot;Tremblement de Schrödinger&quot; est lié à la relativité ==<br /> Le Zitterbewegung, ou &quot;Tremblement de Schrödinger&quot; est lié au caractère relativiste de l&#039;équation de Dirac, et n&#039;est pas lié à la linéarisation de l&#039;équation de Schrödinger, telle que Jean-Marc Lévy-Leblond l&#039;a publiée en 1963.<br /> Lien, hélas assez mal rédigé :<br /> http://www.mines.inpl-nancy.fr/~ledieu/malterre2.pdf <br /> Le Zitterbewegung n&#039;apparaît que dans les solutions avec composantes<br /> d&#039;énergie négative, donc avec l&#039;équation de Dirac, relativiste. Rien en<br /> Lévy-Leblond.<br /> <br /> Le texte est obscur, faisant l&#039;impasse sur les articulations logiques du<br /> discours. Mais en page 2, dans les 5 lignes de plan, il est précisé qu&#039;à<br /> la 4e partie, on revient à l&#039;équation relativiste.<br /> <br /> En non-relativiste, les différences de fréquences, leurs battements, sont définis et calculés, mais jamais les fréquences elles-mêmes. En effet, sans la relativité, il n&#039;y a pas d&#039;origine aux niveaux d&#039;énergie des électrons, aucune fréquence électronique ne peut donc être définie.<br /> Il faut en revenir à la relativité, aux fondements utilisés par Broglie en 1924, pour avoir la fréquence broglienne intrinsèque de toute particule avec masse : mc²/h.&lt;br&gt;<br /> La même condition s&#039;applique à la fréquence du Zitterbewegung, 2mc²/h.<br /> <br /> <br /> <br /> == Les liens fréquentiels lors de l&#039;annihilation électron-positron ==<br /> <br /> Rappelons d&#039;abord un fait : la création de paires &lt;math&gt;e^- e^+&lt;/math&gt;.<br /> <br /> Lorsque, vu du repère d&#039;une cible contenant des électrons (un atome en particulier), un photon gamma a une fréquence suffisamment élevée, au moins le double de la fréquence broglienne de l&#039;électron (&lt;math&gt;123,559.10^{18}&lt;/math&gt; Hz), soit &lt;math&gt;247,118 .10^{18}&lt;/math&gt; Hz, alors de la rencontre peuvent sortir trois leptons de spin 1/2, de fréquences intrinsèques &lt;math&gt;123,559.10^{18}&lt;/math&gt; Hz : deux électrons et un anti-électron.<br /> <br /> La résolution particulière par Schrödinger de l&#039;équation de Dirac, résout le mystère fréquenciel, apparemment insoluble avec les seules données précédentes : la fréquence électromagnétique du Zitterbewegung de l&#039;électron est le double de la fréquence broglienne, soit &lt;math&gt;247,118 .10^{18}&lt;/math&gt; Hz.<br /> Schrödinger, Sitzungsb. J. Berlin. Akad., 1930, p. 418.<br /> Ou paragraphe 69, pages 261 à 263 de P.A.M. Dirac, The Principles of Quantum Mechanics. Oxford Science Publications.<br /> <br /> Donc la création de paires lors d&#039;un impact de gamma, est bel et bien un phénomène avec résonance fréquencielle, à &lt;math&gt;247,118 .10^{18}&lt;/math&gt; cycles par seconde. Question à résoudre : et pour la création de paires de gammas, quand un positron rencontre de la matière ordinaire ?<br /> <br /> La longueur d&#039;onde correspondante est de 1,213 picomètres, soit la moitié de la longueur d&#039;onde Compton.<br /> A deux &lt;math&gt;\pi&lt;/math&gt; près, c&#039;est aussi l&#039;ordre de grandeur de l&#039;oscillation de ce tremblement de Schrödinger de l&#039;électron : 193,08 femtomètres..<br /> <br /> On ne peut en déduire que la résonance fréquencielle serait à elle seule la totalité de l&#039;explication de la physique du phénomène... En particulier il faut des données sur la section de capture du gamma à mesure que son énergie dépasse l&#039;énergie de seuil.<br /> <br /> Lors de l&#039;annihilation d&#039;un positron par rencontre avec un électron, chaque gamma émergent emporte la moitié de la fréquence électromagnétique de chaque lepton incident. Soit &lt;math&gt;123,559 . 10^{18}&lt;/math&gt; Hz pour 511 keV dans le repère du centre de la réaction.</div> Jacques Lavau