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Auteur Sujet: Vincent Courtillot, sur les erreurs du GIEC :  (Lu 7132 fois)

Jacques

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Vincent Courtillot, sur les erreurs du GIEC :
« le: février 12, 2010, 12:53:40 »
Vincent Courtillot à Strasbourg, sur les erreurs du GIEC :
http://www.dailymotion.com/video/xanv0e_rechauffement-climatique-les-erreur_tech
6 parties.

Ou à http://www.objectifliberte.fr/2009/10/videos-de-vincent-courtillot-sur-youtube-et-daily-motion.html

Les concentrations en CO2 suivent de 800 à 1000 ans les variations de la température des océans, au long des cycles de Milankovitch. La périodicité est d'environ cent mille ans. On sait que les grandes variations climatiques, notamment les glaciations et déglaciations, sont pilotées par les variations périodiques d'orbites terrestres, dues aux perturbations par les grosses planètes, Jupiter et Saturne. Et c'est la température des océans qui pilote le gaz carbonique, et non le contraire.

A Punta di Maiata, côte Sud de la Sicile, un remarquable affleurement calcaire accuse les cycles de précession de 23 000 ans, avec quadruplets de couleur rose, blanc, gris, blanc, réguliers. Neuf cycles sont visibles, exhibant donc l'histoire d'environ 200 000 ans. Pour chaque cycle, le banc rose correspond à du sable du Sahara, riche en oxyde de fer dans le sédiment, période chaude, et les bancs gris et blanc à des périodes plus froides, avec des apports plus organiques, alimentés par les rivières d'Europe. A plus grande échelle d'observation, le site accuse aussi des maxima de dépôt de CaCO3 tous les 100 000 et 400 000 ans.

Son équipe a multiplié les preuves de corrélations très nettes entre le cycle de onze ans du Soleil, et de nombreuses variables météorologiques. Il se trouve que ces preuves étaient des premières en climatologie et météorologie.  Idem en océanographie, pour les oscillations océaniques, telles que l'oscillation de Maden Julian dans le Pacifique Nord.

Sur 342 W/m² qui arrivent en moyenne sur la terre, plus ou moins un watt selon les variations solaires, environ 80 W/m² sont renvoyés par les nuages. On n'avait jamais eu d'évaluation quantitatives des nuages avant les satellites d'observations terrestres... Le GIEC prétend 2W/m² de variations dues au CO2.

Ce sont les rayons cosmiques, solaires ou extrasolaires, qui sont les principaux nucléateurs de gouttelettes de nuage. La corrélation entre les rayons cosmiques et la couverture nuageuse n'est bonne que pour les nuages de basse altitude : pas assez de vapeur d'eau sursaturante en haut. Phénomène très proche de celui exploité dans les chambres à brouillard de Wilson, premiers traceurs de particules qui ont été utilisés, avant les chambres à bulles, qui ont précédé les chambres à fils actuelles.

Au M.I.T., Richard Lindzen a prouvé que la sensibilité du climat au CO2 est de l'ordre de 0,5°C et non de 3 °C, sous l'hypothèse d'un doublement du CO2 atmosphérique. Encore une contestation dévastatrice pour les dogmes professés par le GIEC, et encore fondée sur des observations.

Attention, les six vidéos totalisent quelques deux heures d'audition, surtout si comme moi vous revenez en arrière pour écrire des notes.


A suivre : nombreux autres articles et séminaires de Vincent Courtillot.
« Modifié: février 13, 2010, 10:54:17 par Jacques »
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences

Jacques

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Re : Vincent Courtillot, sur les erreurs du GIEC :
« Réponse #1 le: février 12, 2010, 03:09:34 »
« Modifié: février 12, 2010, 03:16:01 par Jacques »
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences

Jacques

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Le niveau d'insultes auxquelles Courtillot fait face :
« Réponse #2 le: février 12, 2010, 04:27:05 »
Le niveau d'insultes auxquelles Courtillot fait face :
Les Chevaliers de l’Ordre de la Terre Plate, Part II: Courtillot's Geomagnetic Excursion
Classé dans:

    * Climate Science

— raypierre @ 18 décembre 2007


Première partie à http://www.realclimate.org/index.php/archives/2007/11/les-chevaliers-de-lordre-de-la-terre-plate-part-i-allgre-and-courtillot/langswitch_lang/fr/

Voilà, nous avons donc affaire à une secte d'imposteurs, qui ne reculeront devant rien, pour continuer de vendre leurs impostures, aux media, aux politiques, et au grand public désarmé.
« Modifié: avril 06, 2010, 01:30:10 par Jacques »
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences

Jacques

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Géomagnétisme et climat (2007) :
« Réponse #3 le: février 12, 2010, 05:03:10 »
http://climat-sceptique.over-blog.com/article-7217663.html
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Géomagnétisme et climat

Le climat varie à diverses échelles de temps. Outre la variabilité naturelle de la circulation océanique et atmosphérique, les évolutions globales du climat mettent en jeu des forçages sur des périodes allant des années aux millénaires : forçages du soleil, des gaz à effet de serre, des émissions volcaniques. A des échelles de temps plus grandes encore, d’autres facteurs comme la dérive des continents jouent leur rôle. La modélisation climatique accorde depuis ses origines un poids prépondérant aux gaz à effet de serre, notamment au CO2, et ce carbocentrisme initial s’est poursuivi jusqu’à nos jours. Mais sont-ils les seuls en cause ? Un travail récent sur le géomagnétisme suggère une réponse clairement négative.

L’équipe de Vincent Courtillot (Institut de physique du globe de Paris) s’est penchée sur les corrélations entre le champ magnétique terrestre et le climat, en l’occurrence les températures de surface. Rappelons que ce champ géomagnétique est créé par le noyau métallique liquide de notre planète et qu’il forme une sorte de bouclier protecteur dans les régions hautes de l’atmosphère, ionosphère et surtout magnétosphère.

Le graphique ci-dessous montre l’évolution au cours du XXe siècle des indices géomagnétiques moyennés par période de 11 ans (observatoires de Eskdalemuir et Sitka, ESK, SIT), de l’irradiance solaire totale (S(t)) et des températures de surface (Tglobe).



On constate une remarquable corrélation entre les courbes, qui ne décrochent (pour les températures) qu’au milieu des années 1980. Plusieurs autres travaux récents commentés sur notre site ont déjà documenté cette étroite association avec divergence récente (N. Scafetta, B.J. West, voir ici ; M. Lockwood, C. Frohlich voir ici).

Comme le soulignent les chercheurs de l’IPGP, « il y a donc de bonnes indications d’une contribution significative de l’irradiance solaire au changement climatique des trois premiers quarts du XXe siècle au moins, avec une contribution anthropogénique du CO2 ne devenant significative qu’au milieu des années 1980, bien que l’origine de cette ‘température anormale’ ne puisse pas être considérée comme démontrée ».

Une corrélation n’est pas une cause, et il n’y a aucune raison de penser que le géomagnétisme en lui-même influence le climat : « Les corrélations observées entre le climat de la Terre et le géomagnétisme ont pour l’essentiel impliqué les changements magnétiques contrôlés par des variations externes (solaires) et non internes (noyau) ». Ce sont donc les variations du flux solaire total et de son champ magnétique, associées à des variations du rayonnement cosmique atteignant notre planète, qui constituent la cause première de la corrélation observée. Ce travail confirme une précédente étude menée par la même équipe sur l’évaluation du géomagnétisme en rapport avec l’activité solaire (Le Mouël 2005). Les chercheurs proposent donc une vision élargie des mécanismes climatiques, synthétisée dans le graphique ci-après, et dans la droite ligne des hypothèses avancées par H. Svensmark (voir ici) ou N. Shaviv (voir ici) :



Vincent Courtillot et al. montrent par ailleurs que l’on trouve de bonnes corrélations à d’autres échelles de temps (en Europe occidentale sur les 1000 dernières années, en Mésopotamie sur les 4000 dernières années), même s’il manque encore des banques de données globales du géomagnétisme pour aller au-delà de telles observations locales. Mais ces travaux suscitent désormais le plus grand intérêt et c’est une nouvelle réjouissante. Après 40 ans d’une domination arrogante, le carbocentrisme est en passe de montrer ses limites : on ne progresse plus guère depuis 10 ans dans la réduction des fourchettes de sensibilité au CO2, lesquelles ont de toute façon à peine varié depuis les premiers modèles rudimentaires à 1 dimension. Du point de vue épistémologique, on pourrait dire que le paradigme carbonique entre en crise : il ne propose aucune autre perspective de progrès que des micro-sophistications marginales de ses modèles, dont l'effet est généralement d'accroître les incertitudes prédictives au lieu de les restreindre.

Le temps est donc venu de se pencher sur les déterminants bien moins connus, mais peut-être bien plus efficaces, du climat terrestre. Laissons donc les adeptes de la comptabilité carbonique égrener une à une les quelques parties par million de CO2 atmosphérique. Et tournons les yeux vers les étoiles…

Références
Courtillot V. et al. (2007), Are there connections bewteen the Earth’s magnetic field and climate ?, Earth Planetary Sci Lett, 253, 328-339.
Le Mouël J.L. et al. (2005), On long-term variations of simple geomagnetic indices and slow changes in magnetospheric currents: The emergence of anthropogenic global warming after 1990?, Earth Planetary Sci Lett, 232, 273-286.
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences

Jacques

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Les nuages se forment par condensation de la vapeur d’eau présente dans l’atmosphère.
Sacrilège pour la religion carbocentrique...

http://climat-sceptique.over-blog.com/article-5654147.html

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Entretien avec Henrik Svensmark


Entretien avec Henrik Svensmark
Le physicien danois Henrik Svensmark dirige depuis 2004 le groupe de recherche soleil-climat au sein du Centre national danois de l’espace (DNSC, Copenhague). En 1997, il a formulé l’hypothèse que le soleil possède un effet indirect important sur le climat, à travers la modulation du rayonnement cosmique d’origine galactique et de ses conséquences sur la nébulosité de basse couche. Il revient dans cet entretien sur ces travaux et sur sa toute récente publication concernant cette hypothèse.

Pouvez-vous rappeler votre hypothèse centrale sur la nébulosité ?
Depuis des années, il existe de nombreux travaux sur un lien apparent entre l’activité solaire et le climat. Voici 10 ans, avec Eigil Friis-Christensen, j’ai suggéré que ce lien pourrait opérer à travers l’influence des rayons cosmiques sur la nébulosité terrestre. J’ai trouvé de bonnes corrélations entre les mesures de ce rayonnement d’origine galactique et la couverture nuageuse telle qu’elle est observée par les satellites.

Quel était le but de votre récente recherche ?
Le problème était qu’aucun mécanisme connu ne parvenait à expliquer ce lien entre nébulosité et rayon cosmique – et dès lors, beaucoup ont rejeté cette possibilité. Cependant, il est devenu clair que cette idée peut être testée expérimentalement. Comme vous le savez sans doute, il reste bien des incertitudes sur la formation des nuages, en particulier sur la manière dont les petits aérosols deviennent les composants des noyaux de condensation des nuages (CCN), autour desquels la vapeur d’eau se condense. L’hypothèse est que le processus est favorisé par la présence d’ions, et c’est que nous avons testé.

En quoi a consisté l’expérimentation ?
Cette expérience appelée SKY (nuage en danois) s’est tenue dans une chambre de réaction de 7 m3 contenant un mélange de gaz, dans des conditions de simulation réaliste de la basse troposphère terrestre. Des lampes simulaient l’irradiance spectrale du soleil, notamment l’UV qui lance le processus photochimique de formation de l’acide sulfurique. Lorsque cette atmosphère a été bombardée par des rayonnements cosmiques, les instruments ont enregistré l’ensemble des réactions chimiques. Les données ont montré que les électrons libérés par le rayonnement agissent comme des catalyseurs, accélérant de manière significative la formation de groupes stables de molécules d’eau et d’acide sulfurique, c’est-à-dire les ingrédients des CCN à l’œuvre dans la formation des nuages (schéma). L’utilisation de deux électrodes à des points opposés de la chambre a permis de confirmer le rôle central des électrons et, surtout, la vitesse étonnante à laquelle les réactions se tiennent : il suffit d’une seconde pour voir se former les premiers noyaux de condensation, là où les estimations théoriques étaient de 80 secondes.



Quelles sont les conséquences pour l’étude du climat ?
Cela signifie que les nuages ne sont pas seulement la résultante du climat, mais que le climat est aussi la résultante des nuages. Au cours du XXe siècle, le champ magnétique solaire a plus que doublé, réduisant d’autant la pénétration du rayonnement cosmique. La conséquence sur la nébulosité, notamment en basse couche, peut expliquer une partie des variations climatiques observées.

Références
Svensmark H., Eigil Friis-Christensen (1997), Variation of Cosmic Ray Flux and Global Cloud Coverage - a Missing Link in Solar-Climate Relationships, J. Atmosph. Solar-Terrestr. Phys., 59 ,11, 1225-1232.
Svensmark H. (1998), Influence of Cosmic Rays on Earth's Climate, Physic. Rev. Lett., 81, 22,. 5027-5030
Svensmark H. (2007), Experimental evidence for the role of ions in particle nucleation under atmospheric conditions, Proc. Roy. Soc. A, 463, 2078, 1364-5021

Certains de ces textes sont disponibles sur cette page d’Henrik Svensmark

A signaler
Henrik Svensmark vient de publier avec Nigel Calder un ouvrage de vulgarisation de sa théorie :
Svensmark H., N. Calder (2007), The Chilling Stars. A New Theory of Climate Change, Icon Books. Disponible sur Amazon


Quelques explications rapides

Les nuages se forment par condensation de la vapeur d’eau présente dans l’atmosphère. Pour que cette condensation opère, outre le refroidissement de la parcelle d’air, il faut la présence de petites particules (aérosols), un peu comme la buée se forme sur une surface froide. L’expérience décrite par H. Svensmark explique comment de tels noyaux de condensation (CN) se forment plus aisément e présence d’une ionisation moléculaire induite par le rayonnement cosmique d’origine galactique (RCG). Il est à noter que ce ne sont pas directement des noyaux de condensation de nuages (CCN) dont la taille critique est supérieure (environ 60 à 90 nm de diamètre) aux CN mis en évidence par l’expérience SKY (schéma ci-dessous). Néanmoins, il s’agit d’une étape importante dans l’établissement du lien entre rayonnement cosmique et nébulosité. Une analyse plus approfondie est en cours au CERN, dans le cadre du projet Cosmics Leaving Outdoor Droplets – CLOUD dont les premiers résultats devraient paraître d’ici 2010.


L’hypothèse du lien entre rayons cosmiques et nébulosité a encore un long chemin devant elle, puisqu’il faut montrer l’association avec des CCN, l’effet relatif de ces CCN sur la nébulosité (par rapport aux autres aérosols naturels ou anthropiques déjà présents dans l’atmosphère), la valeur en forçage de ce phénomène (c’est-à-dire, selon le niveau de formation des nuages et leur profondeur optique, le bilan radiatif entre l’effet albedo de réflexion du rayonnement incident et l’effet de serre d’absorption et d’émission de l’infra-rouge lointain). Plusieurs travaux suggèrent que le rayonnement cosmique est un « chaînon manquant » des sciences climatiques (voir notamment sur ce site la présentation des travaux de Nir Shaviv).

L’importance de ces recherches est évidente pour comprendre le réchauffement climatique actuel. En effet, l’irradiance totale du soleil est en hausse depuis deux siècles, et a connu ses plus fortes valeurs au cours de la seconde partie du XXe siècle. Outre l’effet direct sur le climat, ce rayonnement solaire et le champ magnétique interplanétaire induit font écran à l’entrée du rayonnement cosmique dans l’atmosphère. Donc à la formation de nuages dans l’hypothèse Svensmark. En moyenne, sur les 342 W/m2 de rayonnement solaire incident au sommet de l’atmosphère, environ 100 W/m2 sont réfléchis vers l’espace par l’albedo des nuages. On comprend qu’une petite variation suffit à avoir de grands effets (en comparaison, le forçage de l’ensemble des gaz à effet de serre accumulés dans l’atmosphère depuis la révolution industrielle s’élève à 2,4 W/m2).

Depuis une dizaine d’années, les hypothèses de Svensmark et al. sont accueillies assez froidement par une partie de l’establishment scientifique, qui en tient pour le confortable carbocentrisme des modèles actuels, faisant la part belle aux gaz à effet de serre, mais modélisant très mal en revanche les effets directs et indirects du soleil sur le climat. Plusieurs dizaines de travaux ont été publiés autour de l’hypothèse Svensmark, dont tous n’ont d’ailleurs pas retrouvé les corrélations entre nébulosité et RCG. La fiabilité assez médiocre des enregistrements (pour la nébulosité, mais aussi pour les RCG à haute énergie) explique une partie de ces controverses.

Quoi qu’il en soit, la science est un processus ouvert, et le climat terrestre n’a certainement livré tous ses secrets.
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences