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Auteur Sujet: Pourquoi Margaret Thatcher finança à fond l'inculpation du CO2 ?  (Lu 11487 fois)

Jacques

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J'avais appris cela distraitement : ce fut bien Margaret Thatcher, qui pour des raisons de politique intérieure, appuya à fond, et finança généreusement aux frais du contribuable britannique, tous ceux qui pourraient inculper le dioxyde de carbone de tous les péchés possibles. D'une part parce qu'elle voulait fermer davantage de puits de mine, d'autre part comme couverture morale pour développer davantage l'électronucléaire.

Dans un blog d'idéologie néolibérale, donc très élogieux :
Citer
Une autre erreur, largement méconnue et aux conséquences dramatiques pour l’économie européenne, fut le soutien déterminant de Margaret Thatcher aux théories du réchauffement climatique. Subissant de plein fouet le choc pétrolier des années 70, préoccupée par la sécurité énergétique de la Grande-Bretagne et désireuse de ne pas laisser le pays se faire prendre en otage par les syndicats du charbonnage anglais, Thatcher a estimé que la thèse, minoritaire à l’époque, du réchauffement climatique d’origine anthropique était un argument supplémentaire en faveur du nucléaire dont elle était une partisane inconditionnelle (elle contribua d’ailleurs activement à la création du CERN). Elle a sommé la Royal Society de prouver un lien existant entre température et CO2 et l’argent public a coulé à flots pour financer la recherche, le développement et les institutions en tous genres qui ont proliféré à condition de valider les conclusions qu’on leur exigeait de tirer. Elle chargea le prestigieux MET Office britannique de mettre en place une unité de recherche climatique. Cette unité fut la base d’une nouvelle commission internationale qu’on appellera plus tard… l’IPPC : le GIEC.

Cette faute morale impardonnable (avoir perverti le fonctionnement de la science pour des raisons politiques) a ceci d’éminemment paradoxal que l’une des plus grandes figures libérales du siècle passé est indirectement à l’origine des législations et règlementations énergétiques antilibérales qui sapent actuellement l’économie européenne.

Monumentale dans ses succès comme dans ses erreurs, Margaret Thatcher ...
http://blog.turgot.org/index.php?post/Corentin-Thatcher

Le discours à la Royal Society, 1988 Sep 27 Tu :
http://www.margaretthatcher.org/document/107346

Du bord opposé, à l'adresse http://www.solidariteetprogres.org/orientation-strategique-47/analyses/La-mystification-du-Rechauffement-climatique_06059.html
Citer
Le réchauffement climatique est un levier et un instrument de chantage pour imposer cette approche. C’est au départ sir Crispin Tickell, un proche du prince Philip d’Edimbourgh et ambassadeur de Grande-Bretagne aux Nations unies entre 1987 et 1990, qui incita Margaret Thatcher à adopter le thème du réchauffement climatique, dont elle vit tout le profit qu’elle pouvait tirer pour justifier son malthusianisme financier. Le 27 septembre 1988, elle déclara à la Royal Society de Londres : « Pendant des générations et des générations, nous avons supposé que les efforts de l’humanité maintiendraient l’équilibre fondamental des systèmes mondiaux et de l’atmosphère dans un état stable. Mais il est possible qu’avec tous ces énormes changements (peuplement, agriculture et recours à des carburants fossiles) concentrés sur une si courte période de temps, nous ayons involontairement entamé une expérimentation massive sur le système de la planète lui-même.

Récemment, trois changements dans la chimie de l’atmosphère sont devenus des sujets familiers de préoccupation. Le premier est l’accroissement des gaz à effet de serre, CO2, méthane et chlorofluorocarbures, qui a conduit certains à craindre qu’ils soient en train de créer un piège à chaleur planétaire qui pourrait conduire à une instabilité climatique (…) Et la moitié du carbone émis depuis la révolution industrielle reste dans l’atmosphère. Nous avons établi un programme étendu de recherches auprès de notre Bureau de météorologie… pour l’étude du changement climatique ».

Deux mois après que Margaret Thatcher eut prononcé ce discours, le Groupe intergouvernemental d’experts sur le réchauffement global (GIEC) était mis en place par l’Organisation météorologique mondiale (WMO) et le Programme pour l’environnement des Nations unies (UNEP), pour évaluer les informations scientifiques, techniques et socio-économiques pertinentes concernant les risques de changements climatiques anthropogènes. John Houghton, qui était le directeur du Bureau de la météorologie chargé d’étudier le changement climatique pour le compte du gouvernement britannique, fut alors nommé président du comité d’évaluation scientifique du GIEC. Ce sont les rapports établis sous la direction de Houghton qui ont fait autorité auprès du monde entier et, en particulier, de Al Gore.

Il ne s’agit pas ici d’une conspiration au sens de celles qui circulent sur internet, mais du recours logique à une arme par une oligarchie en période de crise. Le prince Philip d’Edimbourgh lui-même aborda une fois de plus le thème de la « crise de population » dans les années 1990, mais cette fois en utilisant le réchauffement climatique comme levier. La croissance de l’humanité doit être, selon lui, contrôlée par tous les moyens pour empêcher un épuisement des ressources et un choc climatique. Dans cette conception du monde, les ressources sont fatalement finies et des hommes prédateurs les consument.

L'ironie de l'histoire est que Mrs Thatcher revint ultérieurement sur ses opinions, et commit le crime de "climato-scepticisme" :
http://www.telegraph.co.uk/comment/columnists/christopherbooker/7823477/Was-Margaret-Thatcher-the-first-climate-sceptic.html
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences

Jacques

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Lord Christopher Monckton est un témoin gênant : il y était, quand Margaret Thatcher a mis le paquet pour financer la supercherie sous couverture scientifique, diabolisant le dioxyde de carbone.  Il a exécuté les ordres, il sait de quoi il parle.
http://www.climatedepot.com/2014/03/04/updated-global-temperature-no-global-warming-for-17-years-6-months-no-warming-for-210-months/
Traduction française à :
https://resistance71.wordpress.com/tag/escroquerie-rechauffement-climatique-anthropique/

Citer
Updated Global Temperature: No global warming for 17 years, 6 months – (No Warming for 210 Months)

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By: Marc Morano - Climate DepotMarch 4, 2014 9:20 AM with 258 comments

Special to Climate Depot:

By Lord Christopher Monckton

Seventeen and a half years. Not a flicker of global warming. The RSS satellite record, the first of the five global-temperature datasets to report its February value, shows a zero trend for an impressive 210 months.

The graph below shows no global warming at all for 17 years 6 months:



Monctkon analysis:

1: This graph is highly topical. It is right up to date. Remote Sensing Systems, Inc. (RSS) is one of the two satellite-based datasets (the other is the University of Alabama at Huntsville (UAH). And RSS is one of the five standard global temperature datasets, which include the two satellite datasets and the three terrestrial datasets – Goddard Institute for Space Studies (GISS); the Hadley Centre/CRU dataset, version 4 (HadCRUT4); and the National Climatic Data Center (NCDC). As this month, RSS is usually the first to report, and its latest monthly value, for February 2014, became available just hours ago.

2: The satellite datasets are based on measurements made by the most accurate thermometers available – platinum resistance thermometers, which not only measure temperature at various altitudes above the Earth’s surface via microwave sounding units but also constantly calibrate themselves by measuring the known temperature of the cosmic background radiation, which is 1% of the freezing point of water, or just 2.73 degrees above absolute zero. It was by measuring minuscule variations of the cosmic background radiation that the NASA anisotropy probe enabled the age of the Universe to be determined: it is 13.82 billion years.

3: The graph is accurate. The data are lifted monthly directly from the RSS website. They are read down from the text file by a computer algorithm and plotted automatically using an advanced routine that automatically adjusts the aspect ratio of the data window at both axes so as to show the data at maximum size. The latest monthly data point is visually inspected to ensure that it has been correctly positioned. The light blue trend line plotted beneath the dark blue spline-curve showing the actual data is calculated by the method of least-squares linear regression, which determines the y-intercept and slope of the line via two well-established and functionally identical equations that are compared with one another to ensure no discrepancy between them. Least-squares linear regression is used by the IPCC and by most other agencies for determining global temperature trends. Interestingly, it is recommended by Professor Phil Jones of the University of East Anglia in one of the Climategate emails, so no one on the true-believing side will challenge its appropriateness. The reliability of the trend calculation by the algorithm was verified by Dr Stephen Farish, Professor of Epidemiological Statistics at the University of Melbourne.

4: The graph is news. Not only is it very recent: it is also something that the mainstream news media very seldom reveal. They tend to keep the now embarrassingly long hiatus in global warming secret.

Citer
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Dix-sept ans et six mois. Pas de trace de réchauffement climatique global. Les mesures satellite RSS, la première des cinq sets de données de la température globale qui donne son rapport pour les valeurs de février, montre aucune variation pour une impressionnante période de 210 mois.

Le graphique ci-dessous (voir sur l’article original en anglais en cliquant sur le lien ci-dessus), montre qu’il n’y a eu aucun réchauffement global pendant 17 ans et 6 mois:

Analyse de Monctkon:

1: Ce graphique est très pointu. Il est on ne peut plus à jour. Remote Sensing Systems, Inc. (RSS) est un des deux collecteurs de données officiels par satellite (l’autre étant l’Université d’Alabama à Huntsville ou UAH). RSS est un des cinq collecteur de données standards de températures, qui incluent les deux collecteurs satellites et les trois collecteurs terrestres: le Goddard Institute for Space Studies (GISS), le Hadley Centre/CRU collecteur de données, version 4 (HadCRUT4) et le National Climatic Data Center (NCDC). Jusqu’ici, RSS rapporte en premier lieu et ses valeurs chiffrées mensuelles pour février 2014 sont disponibles depuis quelques heures.

2: Les collections de données satellites sont basées sur les mesures faites par les plus précis des thermomètres disponibles, thermomètres à résistance au platine, qui non seulement mesurent la température à des altitudes variées au dessus de la surface de la Terre par des unités de résonnance à micro-ondes, mais aussi se recalibrent constamment eux-mêmes en mesurant la température connue de la radiation cosmique de fond, qui est de 1% de celle de la température du gel de l’eau. Ce fut en mesurant les variations minuscules de la radiation cosmique de fond que le probe anisotropique de la NASA a pu déterminer l’âge précis de l’univers qui est de 13,82 milliards d’années.

3: Le graphe est correct. Les données sont directement prises mensuellement du site internet de RSS. Elles sont lues depuis le texte par un algorithme informatique et automatiquement intégrées en utilisant une routine avancée qui ajuste automatiquement le ratio d’aspect de la fenêtre de données sur les deux axes afin de montrer les données à leur taille maximum. Les dernières données mensuelles sont inspectées visuellement afin de s’assurer qu’elles ont été positionnées correctement. La ligne bleue pâle juste sous la courbe spline (cerce) noire montrant les données factuelles est calculée en utilisant la méthode de régression linéaire du plus petit carré, ce qui détermine l’intersection y et l’inclinaison de la courbe par le moyen de deux équations identiques  bien établies et fonctionnelles qui sont comparées l’une avec l’autre afin de s’assurer qu’il n’y a pas de différences et d’erreurs entre elles. Cette même régression est utilisée par le GIEC et par la plupart des agences climatiques pour déterminer les variations de températures. De manière plus qu’intéressante, ceci est recommandé par le professeur Phil Jones de l’université d’East Anglia dans un de ses courriels du ClimateGate (2009), ainsi personne des vrais convaincus ne défiera ce choix comme étant inapproprié. La sûreté du calcul de variation par l’algorithme a été vérifiée par le Dr Stephen Farish, professeur de statistiques épidémiologiques de l’université de Melbourne.

4: Le graphique est nouveau. Pas seulement très récent, mais aussi quelque chose que les médias de masse ne révèlent pas souvent. Ils ont tendance à garder secrète la maintenant très embarrassante longue durée de non réchauffement global.
« Modifié: mai 05, 2014, 10:13:58 par Jacques »
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences

Jacques

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Le précédent de l'affaire thatchéro-carbocentriste n'est pas l'affaire Lyssenko, malgré de nombreuses convergences : Trofim Denissovitch Lyssenko a su forger sa fraude seul, pour flagorner Staline, et pour profiter des abus du régime pour envoyer au Goulag toute opposition scientifique. Il n'y avait pas préalablement de demande politique formulée envers une doctrine lamarcko-mitchouriniste.

Le précédent le plus exact est le contrat de corruption passé entre le Garde des Sceaux de Louis-Philippe et les aliénistes débutants : en échange d'honoraires confortables, ils fourniraient le discours pédant qui disqualifierait toutes les plaintes des pauvres diables, puisqu'on ne pouvait plus trop compter sur les curés pour cette tâche. Le contrat fut ensuite concrétisé par la loi de 1838. En application du contrat de corruption, ces débutants promus experts judiciaires déclarèrent "dégénérés" les habitants de tel village à abattre judiciairement... En application du contrat de corruption, en 1852 Charles Lasègue disqualifia toutes plaintes de persécutés, et publia qu'il ne s'agissait là que de "délire de persécution", et qu'on pouvait absoudre tous les persécuteurs. Solidarité de classe oblige...
Voir le détail des "smoking guns" à
http://deonto-famille.info/index.php?topic=42.0 ou à
http://info.deonto-famille.org/index.php?topic=42.0
Cent soixante-cinq ans après le contrat de corruption fondateur, ses effets se faisaient encore sentir : des ripoux exercent toujours, calomnient à gages, pour peu que les gages soient confortables.

Dans l'affaire thatchéro-carbocentriste, les corrompus demeureront barricadés dans leurs fraudes jusqu'à leur mort. Voilà pourquoi il nous faudra attendre encore une quarantaine d'années pour que la climatologie ait une chance de devenir une vraie science : attendre qu'ils soient morts.

--
Gang Intergouvernemental d'Escrocs Carbocentristes, et fraude à l'évolution climatique :
http://http://impostures.deontologic.org/index.php?board=30.0
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences

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La stratégie planétaire des vrais patrons.
« Réponse #3 le: juin 26, 2014, 05:46:21 »
Le GIEC n'est pas sans précédents dans l'histoire de l'humanité.

Ce n'est pas si nouveau. A de nombreuses reprises des princes ont institué des clergés et des religions chargés de berner le peuple, conformément aux ordres du prince, de sa cour ou d'une oligarchie.

En revanche c'est nouveau dans l'histoire de la communauté scientifique.
Dès le seizième siècle, soit dès les débuts de la science en Occident chrétien, les coups étaient francs, en ce sens qu'ils venaient pratiquement tous de la papauté, parfois relayée par la dictature de Calvin à Genève, puis par les congrégations protestantes des Amériques. Avec cet entraînement constant, les scientifiques débutants apprirent vite à dépister d'où venaient les coups anti-science.

Fin 19e siècle, le relais fut pris par les antidreyfusards, qui firent des campagnes anti-intellectuels, et par extension anti-sciences.
Ce modèle fut repris dans l'Allemagne nazie, qui tenta de faire une science aryenne, battant les tambours de guerre contre "la science juive, trop abstraite".

Plus à l'Est, on fit le coup de la science prolétarienne, dont Staline était l'arbitre suprême. Dans plusieurs de mes manuels provenant des éditions Mir, figure une diatribe contre le second principe de la thermodynamique, stigmatisé comme "bourgeois". Beaucoup plus grave fut la domination de Trofim Denissovitch Lyssenko, qui profita du système terroriste et plutôt ignare du pouvoir soviétique, pour lui refiler son escroquerie néo-lamarcko-mitchouriniste. Ce qui lui permettait d'envoyer au Goulag tous les objecteurs scientifiques. L'agriculture soviétique sombrait, et la science biologique coula de même dans l'empire soviétique.

Contrairement au système Lyssenko, élaboré par l'escroc tout seul puis vendu au pouvoir stalinien, le système CRU-Hadley-IPCC a été élaboré directement par le pouvoir politique de Margaret Thatcher, qui a immédiatement déployé ses moyens de corruption. Il lui a suffi de trouver des scientifiques de seconde ou troisième zone, corruptibles, à qui furent offertes des carrières inespérées, complètement pathologiques, à Michael E. Mann et Phil Jones, par exemple.

Or là, la communauté scientifique avait déjà perdu tous ses réflexes d'autodéfense contre les impostures et les corruptions refilées par le pouvoir politique. La guerre froide était gagnée. L'Occident avait fait libérer plusieurs scientifiques dissidents, des geôles "psychiatriques" où les tenait le KPSS (PCUS en français) de Brejnev ; endormie par ses victoires, la communauté scientifique ne savait plus démasquer ses ennemis embusqués.

L'Onchocerca volvulus qui cause la cécité des rivières dispose d'une super-astuce pour échapper aux anticorps de l'humain parasité : il se tapisse des protéines et des anticorps du parasité, si bien qu'il n'est plus détecté comme étranger par le corps parasité. Le système CRU-Hadley-IPCC a bénéficié, sans en être très conscient, de la même ruse pour duper toutes défenses immunitaires de la communauté scientifique : A l'exception de personnalités exceptionnellement indépendantes et investigatrices, la collectivité s'est laissée duper sans la moindre sécrétion d'histamine ni d'anticorps. Ces corrompus paraissaient être du sérail, et même ils l'étaient. Ils disposaient juste de crédits disproportionnés à leurs compétences, et de carrières en violation des règles de la méritocratie normale, grâce à leurs mandants politiques.

Lien sur les premier mandants financiers :
http://en.wikipedia.org/wiki/Climatic_Research_Unit
Initial sponsors included British Petroleum, the Nuffield Foundation and Royal Dutch Shell. The Rockefeller Foundation was another early benefactor, and the Wolfson Foundation gave the Unit its current building in 1986.
Tiens ? On retrouve les fondateurs du WWF : les monarchies néerlandaise et britannique... Ces fortunes pétrolières sont sûrement des philanthropes... On n'a pas oublié celui qui rêvait de se réincarner en virus mortel, afin de tuer le maximum de gens : http://www.propagandamatrix.com/prince.html .


Dans leur grande simplesse, les climatocrédules s’imaginent que Rockefeller, c’est juste un monstre pétrolier, dont les horizons se borneraient au prix du barril. Dès la fin de la 2e guerre mondiale, ils avaient pris les moyens d’être un monstre médiatique, pour faire des opinions publiques et des gouvernements leurs pantins. Ils ont une stratégie planétaire depuis au moins deux tiers de siècle.

Quand on accuse la seule Margaret Thatcher d’être la corruptrice à l’origine de l’IPCC, pour ses seuls intérêts de politique intérieure, on oublie (et j'avais négligé moi-même) deux faits majeurs :
D’une part les corrompus du CRU étaient déjà en place avant, et financés par :
Citer
Initial sponsors included British Petroleum, the Nuffield Foundation and Royal Dutch Shell. The Rockefeller Foundation was another early benefactor, and the Wolfson Foundation gave the Unit its current building in 1986.

D’autre part, quand Mrs Thatcher se ravisa que ses créatures carbocentristes ne racontaient que des conneries, elle fit machine arrière et fut l’une des premières « climatosceptiques », elle n’eut aucune influence. Aucune.
Donc les vrais patrons étaient ailleurs, avant elle, et après elle.

Dans leur stratégie médiatique planétaire, c’est tout bon d’avoir des idiots utiles, qui sous couleur de « transition énergétique écologique », dictent aux gouvernements les investissements les plus absurdes et contre-productifs, tels que subventionner le branchement d’éoliennes sur le réseau de distribution électrique, et s’engager à « sortir du nucléaire ». Une fois bien ruinés et exsangues, dans un pays paralysé et grelottant, comment pourraient-ils encore tenir tête aux ordres de leurs maîtres planétaires ?

Stratégie planétaire...
« Modifié: juin 27, 2014, 06:36:00 par Jacques »
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences