Search

Nous agissons comme contrôle qualité externe et incorruptible.
Chacun peut nous faire des remontrances. Le devoir de résipiscence s'applique à tous.
Bienvenue, Invité. Merci de vous connecter ou de vous inscrire.

novembre 21, 2024, 04:24:14

Login with username, password and session length

Shoutbox

Membres
Stats
  • Total des messages: 815
  • Total des sujets: 330
  • Online Today: 303
  • Online Ever: 378
  • (novembre 20, 2024, 08:35:39)
Membres en ligne
Users: 0
Guests: 3
Total: 3

3 Invités, 0 Membres

Auteur Sujet: Transparence de l'atmosphère au rayonnement thermique terrestre.  (Lu 7960 fois)

Jacques

  • Administrator
  • Hero Member
  • *****
  • Messages: 809
Transparence de l'atmosphère au rayonnement thermique terrestre.
Fraude à la causalité.


Citer
http://planet-terre.ens-lyon.fr/planetterre/XML/db/planetterre/metadata/LOM-bilan-radiatif-terre2.xml

Voir aussi le bilan radiatif de la Terre :
http://planet-terre.ens-lyon.fr/planetterre/XML/db/planetterre/metadata/LOM-bilan-radiatif-terre3.xml

et les figures dans http://www.teledetection.net/upload/TELEDETECTION/pdf/20030107122238.pdf

Il importe de vérifier la fiabilité des modèles d'où ces dernières simulations sont issues, car elles prédisent zéro transparence dans la bande principale de la vapeur d'eau, autour de 6,25 µm, ainsi que dans la bande des 4,3 µm du dioxyde de carbone. Je suggère que les calibrations ne sont pas faites pour évaluer la transmittance de l'atmosphère entière, mais au contraire pour évaluer les bandes de passance, où la Terre reçoit bien le rayonnement solaire.

La question de la transparence spectrale de l'atmosphère entière au rayonnement thermique terrestre ne doit s'apprécier que sur la figure http://planet-terre.ens-lyon.fr/planetterre/objets/Images/bilan-radiatif-terre2/bilan-radiatif-terre2-fig13.gif


L'absorption est donc de 60 à 70 % dans la bande des 15 µm de l'ozone et du gaz carbonique, d'environ 80 % dans la  bande des 6 µm de la vapeur d'eau, de 85 ou 90% dans la bande des 4,3 µm du dioxyde de carbone.

Dans tous les cas, on est effectivement fort proche de la saturation : doubler le dioxyde de carbone atmosphérique sera très loin de doubler l'absorption.  De plus, la vapeur d'eau joue un rôle plus sensible.

Le lien causal, politiquement admis, est largement infirmé par les études spectrales.

Or les travaux dirigés publiés par le site Planet Terre, qui ressemble fort à une école doctorale par l'ENS de Lyon, à l'adresse http://planet-terre.ens-lyon.fr/planetterre/XML/db/planetterre/metadata/LOM-series-temporelles1.xml sont entièrement dirigés de façon à ce que les étudiants croient qu'une corrélation emporte une relation causale : la teneur en CO2 emportant avec elle la température des surfaces des océans.

De quoi l'erreur peut-elle provenir ? Le thermomètre utilisé est le rapport isotopique de l'oxygène dans des séries de sédiments à foraminifères.
Le couplage causal pourrait bien être à l'inverse de la croyance politiquement admise : un océan plus chaud solubilise moins de CO2, cette teneur dans l'atmosphère est donc simplement elle aussi un thermomètre, et non pas une cause. En tout cas pas une cause majeure.

Il nous faut donc chercher ailleurs cette cause majeure, ou plusieurs.

Une omission est frappante dans la longue page de TD déjà citée, sur les séries temporelles : aucune évaluation des émissions volcaniques correspondantes, par le dioxyde de soufre, or cela se fait avec une simple mini-électrode de pH, sur l'eau de fonte des carottes.
La conclusion à obtenir a donc dicté les études qui sont publiées. C'est qu'il n'y a pas de recherches sans crédits, le politique détient là un gros moyen de corruption et de chantage sur le scientifique.

http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?topic=1026.msg2106#msg2106
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences