Search

Nous agissons comme contrôle qualité externe et incorruptible.
Chacun peut nous faire des remontrances. Le devoir de résipiscence s'applique à tous.
Bienvenue, Invité. Merci de vous connecter ou de vous inscrire.

mars 28, 2024, 03:43:01

Login with username, password and session length

Shoutbox

Membres
Stats
  • Total des messages: 815
  • Total des sujets: 330
  • Online Today: 40
  • Online Ever: 230
  • (novembre 19, 2018, 09:56:57)
Membres en ligne
Users: 0
Guests: 36
Total: 36

36 Invités, 0 Membres

Auteur Sujet: "avec une direction quantique comme la tendance mondiale actuelle le demande"  (Lu 4902 fois)

Jacques

  • Administrator
  • Hero Member
  • *****
  • Messages: 809
"avec une direction quantique comme la tendance mondiale actuelle le demande"

http://www.alternativesante.com/gazette/sections/section.asp?NoArticle=751&NoSection=60



Citer
Interview avec Judyann McNamara

par Alternative santé



Physicienne, naturopathe, homéopathe mais avant tout une femme passionnée, curieuse, disciplinée, dotée d'un sens de l'humour avec lequel elle rie sa vie. Nous l'avons rencontré à son bureau dans l'ouest de Montréal, une vieille maison avec un cachet spécial, un accueil chaleureux. Judyann est aussi propriétaire de l'école M.I.C.H. (Institut d'Homéopathie Classique de Montréal) qui se spécialise dans l'enseignement homéopathique avec une direction quantique comme la tendance mondiale actuelle le demande. Elle est une pionnière dans le domaine et son discours vous passionnera car la physique quantique est un monde entièrement nouveau, à notre portée, qui invite à la découverte. Nous avons appris grâce à cette rencontre que la personne humaine possède tout ce qu'il faut pour se guérir elle-même, elle en connaît même inconsciemment le processus. Bonne lecture chers internautes et réservez votre place au Colloque Canadien des Naturothérapies pour rencontrer Judy Ann McNamara en personne.

Ne percevant qu'un millionième de la réalité, nous avons la prétention d'affirmer sérieusement : c'est la réalité ! - Judyann McNamara

A.S. :  Judy Ann, pouvez-vous démystifier pour nous l'approche quantique ?

J.A. :   Vous savez, j'ai mis près de vingt ans pour arriver à commencer à comprendre. J'ai débuté mes recherches en 1989. Voici un exemple que j'utilise pendant mes cours :

Prenez une graine. Analysez-la avec les instruments les plus sophistiqués au monde pour isoler jusqu'à l'atome et vous trouverez aussi tous les éléments qui sont présents dans cette graine. Mettez cette graine dans l'eau distillée. La plante qui se forme ensuite contient des éléments, pas des composés, qui n'étaient pas dans la graine ! Il y a donc de la matière qui a été créée dans la plante.

Ce constat est à l'opposé de la physique mécanique selon laquelle « rien ne se perd, rien ne se crée ». Nous pouvons affirmer sans trop nous tromper que l'être humain, avec son œil, ne voit que le un millième de ce qui l'entoure. Le cerveau traduit environ un centième de ce millième que nous percevons. Nous percevons ou captons donc environ un seul signal sur cent milles signaux. Ne percevant qu'un millionième de la réalité nous avons la prétention d'affirmer sérieusement : c'est la réalité !

Au lieu de prétendre que nous savons tout, si nous commencions par admettre que nous sommes des ignorants. Par exemple le champ de gravité. Personne ne peut contester son existence. Pourtant nous ne l'avons jamais vu, aucun instrument à ce jour ne peut le mesurer directement. Il y a toutes sortes de champs : magnétique, électromagnétique, gravitationnel. Ce sont ceux qu'on ne peut pas mesurer et dont on ne voit que les effets, enfin pas tous les effets. Certains de ces effets sont pourtant visibles et par ignorance on ne peut pas les relier à la cause.

Le meilleur exemple est le corps humain. La vie ne pourrait pas exister seulement à cause des lois mécaniques. Si notre corps n'était qu'un produit de la chimie qui interagit mécaniquement, nous ne pourrions vivre plus de deux secondes.

Il y a plus de trente trillions d'interactions par seconde dans le corps. Si toutes ces actions n'étaient pas complètement synchronisées, nous serions morts en quelques secondes.

La maladie serait donc une toute petite erreur, un petit écart, dans ces trente trillions d'interactions.

La division d'une cellule se réalise dans le même genre de champ magnétique terrien qui permet aux oiseaux de se diriger en vol. Quand on regarde la vie, on doit reconnaître qu'elle est gérée par un champ ou un système de champ magnétique global qui conserve l'intégrité de toutes les actions, de tous les fonctionnements du corps. C'est ça le niveau quantique.

J'ai été témoin dans un laboratoire de deux cellules du même corps qui se parlaient, communiquaient entre elles à l'aide des photons qui envoient des flashs de lumières en séquences, sauf lors de tumeurs où l'on note une absence de communication, un silence total. Les tumeurs seraient donc dues au fait qu'une partie du corps a cessé de communiquer avec le reste du corps.

Déjà avec la psychosomatique, le symbolisme du langage du corps, nous percevions que des gens arrivent à se couper de certaines parties de leur corps, ne communiquent plus, mais de le voir en action au niveau des cellules est très impressionnant.

C'est ça que nous nommons la médecine quantique, celle qui s'adresse aux erreurs ou petits dérangements qui se produisent dans ces champs, qui auront des répercussions à tous les niveaux, ce qu'on nomme maladie. Le terrain dans lequel les champs magnétiques sont perturbés se prédispose à la maladie.

Nous pensions que de traiter le terrain était la solution mais maintenant nous comprenons mieux qu'il faut chercher le remède dans la cause des dérangements magnétiques qui prédisposent le terrain à la maladie.

A.S. :  Une fois que nous comprenons une telle définition, comment l'applique-t-on concrètement ?

J.A. :   C'était ma question en 1990. Comment comprendre cette logique, ce niveau quantique énergétique du corps et comment serait-il possible d'interagir, de se mettre en contact ou tout simplement, de devenir conscient de la chose. 

J'ai voyagé et cherché en Californie, Nouveau Mexique, Inde, Allemagne et ailleurs avec le but de me renseigner sur les traitements énergétiques qui s'y faisaient. Peut-on approcher à partir de ce niveau énergétique, le niveau quantique de l'être ?

Mon périple, pendant lequel j'ai essayé de garder un esprit ouvert, m'a amené à comprendre que les guérisseurs et chamans, comme trop souvent en médecine allopathique, prescrivent et s'essaient à guérir l'autre selon son idée, sa perception de l'autre. J'ai par contre beaucoup appris au point de vue énergétique mais mon chemin devait aller plus loin. Pendant ce temps je pratiquais toujours l'homéopathie mais je lui reprochais à peu près la même chose.

Finalement, à force de recherches et de nombreuses expériences, j'ai découvert qu'on peut, sans drogue, sans transe, seulement avec sa conscience, se rendre au niveau quantique avec une simple discussion. Nous entendons, par ce cheminement, la description du vécu de l'individu dans ses propres mots et gestes.

Il faut tout de même dépasser le physique, l'émotif ou le psychique. Je me demandais s'il était possible de s'exprimer rendu à ce niveau. La réponse est oui. J'ai découvert que les gens avec qui j'ai travaillé jusqu'à ce niveau ne pouvaient plus s'exprimer en mots. Ils s'expriment avec leurs mains, leur corps et par des métaphores. À un moment donné, la personne arrive à un geste simple, toujours le même, un geste qui décrit le champ intégral de la personne qui produit un mouvement fondamental.

Cette étape est précédée des métaphores de la part du patient comme ; « je m'enlève de là, je passe comme ceci, je disparais, » qui sont accompagnées par un geste précis de comment il fait, une expression très personnelle de son champ. Ce mouvement là, que le patient faisait de façon inconsciente quotidiennement, est celui de toute sa vie, son travail, ses loisirs, sa maladie, de ses rêves, dans sa relation de couple, partout. Un mouvement qui ressemble à ce qu'il vit en dedans, au niveau énergétique.

Rendu à l'étape non verbale, gestuelle, avec un patient, j'essaie de lui faire expérimenter ce mouvement aussi longtemps qu'il est possible. À partir de ce moment, le processus de guérison se déclenche, sans rien prescrire, rien ajouter, rien enlever, le changement se fait naturellement.

A.S. :  Est-ce que cela fonctionne à tout coup, même avec les maladies sévères ?       

J.A. :   Justement, à mes débuts je remarquais que les changements ne persistaient pas chez ceux qui étaient plus gravement atteints. Il n'existe pas de traitement qu'on pourrait appeler une panacée mais, il y a eu un net avancement depuis que j'ai commencé et ce progrès se poursuit grâce à des découvertes de chercheurs scientifiques en Inde. Ces derniers ont pu reconnaître quelque chose de la nature, dans le mouvement de l'individu. Ils ont découvert que la personne, par ce mouvement de base, exprime une chose qui existe dans la nature : une plante, un minéral, un animal.

A.S. :  Comme si les cellules soufflaient à la personne comment s'exprimer ?       

J.A. :   Oui car le conscient a été tellement en profondeur qu'il touche une couche que l'on nomme inconscient, l'inconscient collectif, dans cet endroit où l'on fait partie du Tout. Ce qui est extraordinaire c'est que parfois les gens décrivent les caractéristiques d'un métal, d'un minéral, dont ils ne savent absolument rien, même pas qu'il existe, dont seuls les scientifiques connaissent la composition. Plus encore, ils expriment inconsciemment un mouvement qui décrit comment ce minéral, par exemple, entre en relation ou quitte une relation, en fait la personne décrit comment l'atome accueille ou quitte un composé, tout cela dans des détails très précis.

A.S. :  Est-ce vrai ou est-ce une rumeur de dire que certaines cellules changent de comportement parce qu'elles se sentent épiées ?

J.A. :   C'est une mésinterprétation bizarre de la physique quantique. C'est comme si on disait qu'on peut changer les choses en les regardant.

Je blâmerais notre supposée objectivité face à l'univers de permettre d'arriver à une telle conclusion. Nous faisons autant partie de l'expérience que l'expérience elle-même. On ne peut pas être à part puisque nous sommes un produit de ce monde comme tout ce qui existe, même nos pensées. Cette idée qu'on se fait de nous, séparés du monde, l'égo, c'est une fiction de notre imagination.

A.S. :   L'Inde possède une longue histoire de bonne relation avec l'homéopathie n'est-ce pas?

J.A. :   Oui. L'homéopathie est pratiquée par des médecins homéopathes souvent de père en fils depuis des générations donc les connaissances sont très approfondies. Il y a plusieurs hôpitaux homéopathiques là-bas. C'est dans le plus grand, celui de Bombay, que se pratique maintenant la méthode quantique. J'ai assisté à une conférence de Sankaran, un des leaders du mouvement homéopathique mondial. Toutes les figures connues y étaient, enfin tous ceux et celles qui ont écrit sur l'homéopathie. Tous, à part quelques-uns de la vieille école, ont transformé leur méthode pour inclure l'approche quantique.

A.S. :  Enseignez-vous cette approche à votre école d'Homéopathie, MICH ?

J.A. :   Oui. Cette approche c'est l'enseignement du comment amener une personne au plus profond de son niveau énergétique en elle-même, comment déceler les mots. Il y a une phase enseignement du remède homéopathique mais ce n'est pas le but final. Pour pouvoir arriver à appliquer ce processus sur les autres il faut absolument exercer ce processus sur soi-même, c'est inévitable et c'est ainsi que débute l'enseignement. On ne peut pas amener une personne plus loin que nous sommes nous-mêmes allés. La première année nous avons débuté avec 40 élèves et pour la deuxième année nous sommes toujours 40. C'est un succès dont je suis fière parce que plusieurs parmi les étudiants n'étaient pas prêts, s'attendaient encore à l'enseignement de la formule qui promet la guérison. Finalement il s'agit d'apprendre comment accompagner une personne pour qu'elle mette en marche elle-même le processus de son auto-guérison.

L'écoute, l'accueil, l'observation sont des qualités à développer pour enclencher un tel processus car la personne devant soi, exprime sa vérité la plus profonde.

A.S. :  À quoi peuvent s'attendre les participants au Colloque pendant votre conférence du 10 novembre au Collège de Maisonneuve ?

J.A. :   J'ai l'intention de démystifier l'approche quantique, de démontrer sa pertinence et de faire avec les participants quelques exercices pour améliorer davantage leur compréhension.

Tout un programme en perspective. Merci Judy Ann McNamara pour ce petit voyage dans notre intérieur.

Contact :
Email : info@m-i-c-h.com
Site Internet : www.m-i-c-h.com

Info :
Site Homéopathes Sans Frontières (France) :
www.hsf-france.com

Site Homéopathe Sans frontières (Québec) :
www.homeopathesdeter resansfrontieres.ca

Liens : Dr Rajan Sankaran :
http://en.wikipedia.org/wiki/Rajan_Sankaran
www.thespiritofhomoe opathy.com/ sankaran.html

Dr Samuel Hahnemann :
http://fr.wikipedia.org/wiki/ Hom%C3%A9opathie
http://homeoint.org

"J'ai été témoin dans un laboratoire de deux cellules du même corps qui se parlaient, communiquaient entre elles à l'aide des photons qui envoient des flashs de lumières en séquences, sauf lors de tumeurs où l'on note une absence de communication, un silence total."
Dans quel laboratoire ? Quand ? Où ? Comment refaire l'expérience pour vérifier qu'elle existe, qu'il n'y a pas de tour d'illusionisme ? Quelles cellules, in vitro ? Conservées comment ? Qui a observé quels flashes ? Où est l'enregistrement ?
"Des photons qui envoient des flashes de lumière en séquence" ? Merci de nous les présenter...

Pas moins que de la transmutation en croissance végétale : " La plante qui se forme ensuite contient des éléments, pas des composés, qui n'étaient pas dans la graine !". On peut revérifier l'expérience et son protocole ? Van Helmont l'avait faite au 17e siècle, mais de nos jours on trouve de nombreux défauts à son protocole, et à ses conclusions.

« Modifié: juillet 12, 2009, 10:39:32 par Jacques »
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences

Jacques

  • Administrator
  • Hero Member
  • *****
  • Messages: 809
Germination miraculeuse pour bobos citadins :
« Réponse #1 le: juillet 13, 2009, 04:03:50 »
Germination miraculeuse pour bobos citadins :
Citer
Interview avec Judyann McNamara

...
Prenez une graine. Analysez-la avec les instruments les plus sophistiqués au monde pour isoler jusqu'à l'atome et vous trouverez aussi tous les éléments qui sont présents dans cette graine. Mettez cette graine dans l'eau distillée. La plante qui se forme ensuite contient des éléments, pas des composés, qui n'étaient pas dans la graine ! Il y a donc de la matière qui a été créée dans la plante.

Pas mal, pas mal...
Pourquoi donc m'Amie se donne-t-elle donc tant de mal à sélectionner et conserver ses semences, à soigner chaque germination dans un milieu bien choisi avant de les replanter en terre, si c'est si simple et miraculeux que ça, juste de l'eau distillée, et passez muscade ?
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences