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Auteur Sujet: "A manufacturing plant at Rennes" invoque-t-il comme référence...  (Lu 3900 fois)

Jacques

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"A manufacturing plant at Rennes, also in France" invoque-t-il comme référence, dans son rédactionnel paru en septembre 1992, "Energy-saving and building Materials", dans la revue Industry Africa...



"... and extensive in-plant testing"...

Alors comme cela, M. Laquerbe fait croire aux africains que l'usine de Saint-Men le Grand, en Ile et Vilaine, environ 50 km NW de Rennes, est une référence ?
J'y étais, à Saint-Méen le Grand, en décembre 1982, puis de juin 1983 à juillet 1984.
Stoppée au printemps 1983,  et démantelée en 1984, l'usine de Saint-Méen le grand était la preuve définitive que le procédé que M. Laquerbe avait vendu à la Société Métallurgique de Bretagne puis à Stargil, autre filiale du groupe Chaffoteaux et Maury, n'avait jamais été sérieusement étudié, n'était qu'un vaste bluff.
« Modifié: novembre 17, 2008, 10:52:18 par Jacques »
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences

Jacques

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Re : "A manufacturing plant at Rennes" invoque-t-il comme référence...
« Réponse #1 le: novembre 23, 2008, 09:50:23 »

"A manufacturing plant at Rennes, also in France" invoque-t-il comme référence, dans son rédactionnel paru en septembre 1992, "Energy-saving and building Materials", dans la revue Industry Africa...

"... and extensive in-plant testing"...


Alors comme cela, M. Laquerbe fait croire aux africains que l'usine de Saint-Men le Grand, en Ile et Vilaine, environ 50 km NW de Rennes, est une référence ?
J'y étais, à Saint-Méen le Grand, en décembre 1982, puis de juin 1983 à juillet 1984.
Stoppée au printemps 1983,  et démantelée en 1984, l'usine de Saint-Méen le grand était la preuve définitive que le procédé que M. Laquerbe avait vendu à la Société Métallurgique de Bretagne puis à Stargil, autre filiale du groupe Chaffoteaux et Maury, n'avait jamais été sérieusement étudié, n'était qu'un vaste bluff.


Jamais M. Laquerbe n'est venu à Saint-Méen le Grand, excepté le jour de l'inauguration.
Michel Laquerbe avait les moyens de mobiliser le CTTB et la presse technique à son service. Mais s’il avait ainsi beaucoup de faire savoir, je n’ai jamais constaté chez lui du savoir faire : zéro rigueur, zéro créativité, zéro fécondation de ses collaborateurs, zéro remue-méninges, connaissances fort étroites. Juste grande gueule, et orgueil ombrageux et paniquard.

La suite a prouvé que M. Laquerbe n'a jamais perçu l'adaptation spécifique de l'extrudeuse Händle.
Cette extrudeuse Händle était un modèle unique, spécifié par M. Gleizes pour ce mélange insuffisamment plastique, qu'était le mélange stocké à Saint-Méen par l'entreprise Rivière avant cessation de ses activités (moitié schiste de Saint-Méen, moitié argile de Saint-Jacut), floculé et raidi par environ 10% d'ajout de ciment. Aucune autre extrudeuse industrielle n'a un gueulard aussi long, de convergence aussi douce, avec des raccordement plus progressifs avec les filières de sortie, que partout ailleurs dans l'industrie. Or pour l'affaire [Iran], M. Laquerbe a approuvé le choix de deux extrudeuses de pacotille, complètement inaptes à leur travail. Bien que dans son rédactionnel paru dans Industry Africa de septembre 1992, M. Laquerbe se vante de l'usine de Saint-Méen comme référence de son expérience industrielle triomphante, il n'a retenu aucun des enseignements de Saint-Méen.

En particulier, M. Laquerbe n'a jamais rien soupçonné des études minéralogiques menées par l'Institut de Géologie et de Minéralogie de Nancy, ni du complément d'étude géologique et minéralogique mené sur la carrière de Saint-Jacut du Mené par M. Philippe Toubeau, thésard au LCPC (Laboratoire Central des Ponts et Chaussées) sous la direction d'André Le Roux. Ce gisement d'argile lacustre avait été daté du Lutétien terminal, ou Sannoisien par les pollens, mais je n'ai plus la source de l'information fournie par M. Toubeau. Antérieurement, était paru en 1962, une étude de la couche d'argile verte de Saint-Jacut, par Jean Nicolas, dans le volume "Genèse et synthèse des argiles", actes du colloque CNRS du 3 au 6 juillet 1961.

En fait, possédé par son auto-affirmation qu'il est la science à lui tout seul, Monsieur Laquerbe, non seulement était obsédé d'éliminer quiconque était d'un niveau scientifique qui put lui faire ombrage, mais n'a non plus jamais accepté de collaborer avec d'autres scientifiques, dont il aurait reconnu et estimé la compétence. Hé oui, s'il reconnaissait les autres, alors il n'aurait plus été la science à lui tout seul... Voilà pourquoi le tribunal ne trouvera dans le dossier de cette calamiteuse affaire d'Iran aucune étude géologique de la région, aucune étude faite par un sédimentologue pour expertiser et évaluer les ressources du gisement pressenti, aucun carottage, aucune étude ni minéralogique, ni granulométrique, ni en plasticité, ni en ions solubles, ni en matières organiques, ni en sulfures ou aluns, ... Monsieur Laquerbe ne sait même pas que ça existe. Inaccessible en haut de son rêve d'omniscience innée, il n'a jamais daigné apprendre ni les bases ni les méthodes du métier d'expert qu'il prétend posséder.

La comparaison avec les quelques études que j'ai pu réunir, et que je joins en annexe, est écrasante.

Rappel de l'adresse du document universitaire sur ces années 1983-1984 : http://lavaujac.club.fr/Stargil_en_galerie_d_escrocs.pdf.
« Modifié: novembre 24, 2008, 06:15:19 par Jacques »
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences

Jacques

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Re : "A manufacturing plant at Rennes" invoque-t-il comme référence...
« Réponse #2 le: décembre 30, 2008, 06:04:09 »
Mon témoignage judiciaire est disponible en ligne, couvrant la période 1983-1986.
Vous n'accéderez qu'à la version où le nom de l'acheteur escroqué est caché.
Adresse : http://deonto-ethics.org/resources/temoignage_anonymise.html

Pour l'expertise détaillée des bluffs à prétention minéralogiste, j'avais interrompu cette tâche durant un mois. A bientôt !
La science se distingue des autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences